Date de publication : 22/02/2018
- #Bâtiment et efficacité énergétique
- #Énergie Climat
- #Europe
- #Juridique
Le SERCE, pour une révision rapide et régulière du facteur de conversion en énergie primaire
Suite à l’Accord de Paris (COP21), l’Europe et la France se sont engagées à réduire leurs émissions de CO2 de plus de 80 % à l’horizon 2050, par rapport au niveau de 1990 (source : « Feuille de route pour l’énergie à l’horizon 2050 » / Commission européenne).
Le SERCE, dans le cadre de sa participation à Europe On, veille à la déclinaison de ces orientations aux différents secteurs énergivores.
C’est pourquoi il appelle à la révision du facteur de conversion en énergie primaire en l’adaptant à l’évolution du mix énergétique européen.
Le SERCE s’associe à la position défendue par les acteurs de la filière électrique qui intègrent une part croissante d’électricité verte, réduisant ainsi la dépendance aux ressources carbonées.
Jusqu’à présent le facteur de conversion en énergie primaire (PEF, en anglais) encourage le recours aux énergies fossiles pour assurer la production de chaleur, considérant que c’est un processus plus efficace que l’électricité.
Accéder au contenu réservé aux adhérents